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Les potins de Michel
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Les potins de Michel
25 janvier 2018

Le boulevard Barbès

Carte de gentrification

Le boulevard Barbès se situe au 18ème arr. de Paris. Il a été crée en 1867 lors du Second Empire. Ce boulevard est nommé en l’honneur d’Armand Barbès (homme politique). Le 18ème arr. est un lieu peu touristique.

Barbès est connu pour son magasins Tati crée en 1948 qui est reprise par Gifi en juin 2017, qui commence au n° 4 et se termine au n°32 Boulevard de Rochechouart, 75018 Paris. Tati est un magasin de vente de textile et de bazar bon marché. Ses magasins, devenus célèbres pour leurs prix modiques qui sont accessibles à tous le monde. Ce magasin est plus fréquenté par les classes ouvrières et moyennes. Il y a des commerces exotiques ou encore le marché de Barbès sous le métro, c’est le marché  « LE PLUS MYTHIQUE ET LE MOINS CHER » d’après pariszigzag.fr

Mais depuis quelques années  on peut voir le début d’une gentrification (les pauvres sont chassés de leur quartier a cause de l’installation les populations plus riche) avec le café de Barbès (prix assez cher pour les personne qui y habite), un Gibert ou encore le cinéma Louxor (Tarif normal : 9.50 €) ou il y a des films français. Grace à cela Barbès  devient un quartier bourgeois.

D’après le document d’INSEE publié en 2017, on voit le début une gentrification entre 2006 et 2013. Nous pouvons apercevoir la part des ouvriers au 18ème arrondissement diminue d’environ 10%  dans la goutte d’or et au centre de la chapelle et celle des cadres augmente d’environ 10% dans presque tout arrondissement.

CAN Melissa et IFTIKHAR Memmoona

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Commentaires
M
Mon quartier préféré de Paris où je retrouve des images de ma lointaine enfance marocaine. Je vis en province mais suis souvent allée à Paris. Dans les années 80, il me semble qu'à la place de l'actuel GIFI se trouvait un étonnant magasin comportant deux étages recouverts de lambris, véritable Bonheur des Dames en réduction, un peu abîmé par les années avec des échoppes chichement éclairées par des ampoules nues. Chaque boutique, qui donnait sur une galerie et un escalier central, recélait mille horreurs mais aussi , de temps à autre, de petites merveilles. J'y ai acheté pour un prix dérisoire un sac de voyage en veau-velours vert amande et un tailleur en grain-de-poudre du meilleur effet. Je crois me souvenir de son nom! "Les deux (ou trois?) Marronniers".
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